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 konan la presentation

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2 participants
AuteurMessage
konan
membres de l'Akatsuki
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konan


Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 16/11/2008

Fiche ninjas
invocations: félins
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MessageSujet: konan la presentation   konan la presentation Icon_minitimeDim 16 Nov - 23:00

Nom et Prenom: Konan

Age: 20 ans

3 Techniques:

-Decomposition du corps.
Konan peut decomposser toutes les parties de son corps en feuille de papier pour esquive un coup ou autres.
-Tigre de papier (Kami-tora no jutsu)
Konan
tourne sur elle-même créant un " tourbillon" de feuille qui l'entour.
Elle se retrouve alors entourer de deux tigres en papiers qui
n'obeïssent qu'a elle. Ceux-ci travail en binome permettant a Konan de
faire plusieurs strategies avec ses felins.
-Barriere de papier.
Konan a toujours des feuilles qui virvolte autour d'elle et qui forme une barriere des qu'elle reçoit un coup.

Village/Organisation souhaité: Akatsuki

Histoire (10 lignes minimum):

Vingt-trois
années, voilà vingt-trois années qu'une fillette est née. A sa
naissance elle était la trésor de ses parents, sa mère ne pensant qu'à
son foyer, et son père trop occuper a se battre et s'entrainait pour
prendre soin des deux femmes de la maison. Se fut donc la mère qui
éleva ce petit ange, qui se nommait Konan. Le père de cette famille
mouru lors d'une mission deux après la naissance de la petite fille.La
mère de la petite se remit de cette perte aprés trois longues années,
la petite était agée de cinq ans. La mère de cette enfant c'était
remarier avec un homme bon et sensible, prét a tout pour son foyer.
L'homme se nommait Iruko, il apprit à la petite l'art des origamies.La
fillette réussi tout les origamies qu'on lui montrait du premier coups,
elle avait cependant une préfrence pour deux sortes d'origamies, les
roses et les papillons.Cinq années plus tard, la petite rentrait d'une
promenade, sa mère faisait la vaisselle et voyait la petite fille
courire vers la maison. La jolie femme chantait, elle leva la tête pour
voir ou se trouver sa fille et la vit tomber. La mère eut le reflex de
lacher se qu'elle lavait, une assiéte blanche toute propre, et courut
pour sortir de la maison, elle s'approcha de l'endroit ou était tomber
sa fille aprés quelques seconde, mais ne vit qu'un gros tas de
papillons origamies qui flottaient partout. La mère regarda ce
spectacle, mais seulment un quart de seconde pour chercher sa fille. Un
doigt se posa sur l épaule de la jeune femme qui se retourna en
sursaut. La petite était devant sa mère, les yeux fermaient en
souriant. Les papillons avait disparut tout autour d'elles, la jeune
femme ne comprit pas et fit rentrer la petite. Lorsque Iruko rentra, la
mère expliqua les détails de la journée et l'homme n'eut d'autre choix
que de dire se qui c'était passé. Il expliqua que le père de la petit
avait un pouvoir héréditaire celui de ce dematérialiser en feuilles. La
mère était une villageoise modelle qui voulait abattre les gens au
pouvoir héréditaire.Elle préféra se donner la mort en enfonçant un
couteau dans son ventre devant son enfant et son mari. Iruko prit Konan
sous son aile et lui apprit tout ce qu'il savait sur son don. La jeune
fille le quitta aprés six années d'études sur ses dons, l'homme mouru
quelque jours après le départ de la jeune fille, tué par des gens sans
scrupule qui avaient connu le père de l'enfant et voulait la tuer. Il
se sacrifia pour elle. Le reste de sa vie ne fut que des voyage a
travers les pays.

Test Rp ( 20 lignes minimum):

C'est
l'aube d'un matin d'été. Le soleil se fait encore tout petit, caché
derrière les montagnes d'Iwa qui signent la frontière entre deux pays.
Seul ses longs bras rayonnant se montraient, éclairant de toute leur
clarté matinale les grandes étendues d'herbe, de longue pairie, coupé
par une petite et claire rivière. Celle-ci est surmontée d'un petit
pont de bois, mais pas un sale et vieux pont rongé par les thermites,
non. Un joli petit pont de bois clair presque verni comme on en trouve
que rarement aujourd'hui, on pourrait même croire que celui-ci est faux
comme ci c'était une pièce dans un jouet d'enfant. Accoudé à la petite
barrière de ce pont, une femme. On ne distingue pas son visage. Sa tête
est baissée, et un chapeau de paille lui coupe la vue sur les prairies.
Accroché à ce chapeau, deux grelots qui scintillent de temps en temps
bercé par le vent doux et chaud d'un matin d'été rayonnant et d'une
journée qui s'annonce chaude. Elle ne porte pour vêtements qu'une très
longue veste noire où sont répartis plusieurs nuage rouge comme le sang.
Ses
mains pendent dans le vide au-dessus de l'eau bruyante de la rivière.
Ses coudes fortement appuyés contre la barrière l'empêchent de tomber
de tout son poids dans l'eau glaciale. Elle joue avec sa bague, la
faisant tourner dans un sens puis dans l'autre, imitant un mouvement
pour l'enlever puis la remettant vivement à sa place comme fière de la
porté. Elle soupire. Pas de fatigue n'y ennui mais plutôt d'attente
trop longue. Comme une femme qui attend son homme depuis des années
sans jamais bougé tout en sachant que celui-ci est mort à la guerre
sûrement tué par les ennemis ou part une mauvaise manœuvre de son
supérieur. La femme semble se lacer de cette attente. Et finalement
oubli pourquoi elle est là…Elle arrête de titillé sa bague et croise
ses doigts, les emmêlant tel un méli-mélo de pattes coincé par cet
entremêlement. Elle finit par murmurer doucement une phrase que seul
les petites fleurs se trouvant tout au bord du pont et les petits
poissons dansant joyeusement dans l'eau pouvaient entendre.

-C'est une belle journée qui s'annonce…
Elle
arrête de bouger, stoppant presque le vent soufflant doucement pour
faire voguer les grelots. Elle attend une réponse. De qui ? Personne ne
le sait… Mais elle fini par relever sa tête d'un coup sec, comme si
quelqu'un lui frappait le visage pour le monter au ciel. Elle dévoile
alors son beau visage pâle au monde. Ce visage semble vouloir sourire,
mais il n'y parvient pas. Il ne s'énerve pas, non, il est triste mais
ne change pas d'expression. Elle ferme les yeux. Laissant ainsi le vent
caresser son visage infiniment. Ce moment aurai put durer une éternité
mais un clapotis provoquer par un petit poisson jaillissant de l'eau la
réveille. Elle rabaisse la tête mais pas autant qu'avant ? Cette fois
ci on voit son doux visage, ses yeux bleu océan fixe le courant de
l'eau sans vraiment le regarder. Elle rêve. De quoi ? C'est son secret.
Elle est de nouveau déranger par un animal, ça l'agasse. Cette fois
c'est une jument sauvage accompagnée de son poulain. Le petit la fixe
alors que sa mère mange tranquillement l'herbe fraîche des pairies. Ils
sont loin mais elle les voit bien quand même. L'enfant semble tout
intéresser par la femme aux cheveux bleus mais n'ose pas s'approcher
par peur et pour ne pas s'éloigner de sa mère. Il se met alors à faire
des cabrioles tout en faisant attention à ne pas s'éloigner de trop de
sa maman. Il fait des pirouettes, il s'amuse, il la gêne avec tous ces
mouvements…Ca l'énervent. Il s'arrête et la fixe de nouveau ne tenant
pas cette fois à la lâcher des yeux.

-Petit et déjà si gênant…

La
femme soupire une nouvelle fois, elle passe sa main droite dans sa
veste et en sort trois feuilles de papier. Elle en pose deux sur la
barrière les empêchant de tomber par on ne sait quel miracle et prend
le dernier dans la main. Rapidement, pliant et repliant la feuille à
nombreuse reprise, elle en fait un petit cheval. Le laissant ensuite
tomber sur l'eau, celui-ci est porté par la rivière. Et peut-être que
plus loin cette rivière traverse un village et un enfant trouvera le
petit cheval qui flotte alors qu'il n'est fait que de papier et en
prendra soin…La jeune femme prend les deux autres feuilles de papier.
Elle est agacer. Son regard est pesant, il est trop curieux et ça le
perdra… Il ne peut suivre les mouvements de son bras, ils sont bien
trop rapide. Il ne se rend pas compte de ce qui lui arrive, il n'en à
pas le temps. Le sang gicle, le corps tombe prit de secousses
violentes. Sa mère à côté de lui s'affole. Il est mort. La femme
regarde le cadavre allongé dans l'herbe verte, arrosé de rouge avec
indifférence et replonge son regard dans l'eau glacé.

-Un
de plus un de moins… Quelle différence ? Ce n'est qu'une vie après
tout. Et cette mère aussi doit souffrir. Sa vie ne doit pas être tout
rose… Il faut du rouge pour changer un peu…Le contraste n'est pourtant
pas si grand…

Plus loin, elle entend la
jument hennir comme pour crier son malheur de la mort de son enfant,
tué par deux bouts de papiers planté fixement au centre de son front où
la tache blanche de son étoile est maintenant écarlate. La femme se
redresse, elle part dans la direction opposée de son œuvre. Elle marche
doucement, ses yeux bleus cachés derrière son chapeau de paille. Un
vent froid traverse la vallée alors qu'elle accueille maintenant
l'astre brûlant et brillant, l'éclairant de tout son être. Le ciel est
bleu, aucun nuage, seul un reflet rouge reste encore gravé sous le
soleil coincé au-dessus de la montagne et juste en dessous ce n'est
plus un reflet mais une flaque rougeoyante qui s'impose. A côté d'elle,
un corps encore en vie s'allonge, le reniflant, le poussant du bout du
nez mais rien y fait. Il est bien mort. La femme s'éloigne doucement et
devient vite une ombre dans le paysage ensoleillé. Et après tout, c'est
son métier, tuer ce qui dérange pour faire souffrir les autres. Elle
sourit. Son travail ici est terminé. Pein l'attend sûrement au repère,
elle arrive à la bordure de la prairie. Reprenant son visage glacial,
dépourvu d'expression, elle jète un dernier coup d'œil au poulain sans
vie et laisse son corps se diviser peu à peu en morceau de papier,
s'effeuillant doucement, et devenir des petits papillons pour s'envoler
dans la forêt alors qu'au loin les hennissements de l'ancienne mère se
font de nouveau entendre, la chance veut que la kunoichi soit déjà loin
et ne l'entende pas…
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hakira no akuma
chef des taka,maitre kaguya
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MessageSujet: Re: konan la presentation   konan la presentation Icon_minitimeDim 16 Nov - 23:15

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